Élections à Saint-Sauveur

 C’est devant une salle comble de partisans, aux Vieilles Portes, que le candidat à la mairie de Saint-Sauveur Luc Leblanc a présenté son équipe qui forme le Parti sauverois et a donné les grandes lignes de son programme électoral.

Il y a presque un an, Luc Leblanc, actuellement conseiller à Saint-Sauveur, annonçait qu’il serait candidat au poste de maire. Il tenait à présenter officiellement une équipe complète, chose faite le mardi 3 octobre.
« Je crois en l’intelligence collective et en l’implication citoyenne. C’est ce qui m’a guidé pour la formation de mon équipe », a lancé Luc Leblanc. Il a insisté sur le fait que les six candidats qui se joignent au parti représentent la famille, autant pour les enfants que pour les ados, les travailleurs, les commerçants, les entrepreneurs et le communautaire.
L’équipe est formée de Jean-Pierre Cyr (entrepreneur), Marie-Andrée Cyr (directrice de la Maison des jeunes de Sainte-Adèle), Chloé Daneau (responsable de Soupe et Compagnie des Pays-d’en-Haut), Geneviève Dubé (nutritionniste et mère de quatre enfants), Laurie Kerr (propriétaire de Fruits et légumes Saint-Sauveur) et Michel Kieffer (retraité du milieu des communications).

Une idée du programme

Le programme du Parti sauverois reste à être dévoilé dans les prochains jours, mais Luc Leblanc affirme que son programme comprendra « cinq enjeux, assortis de mesures et d’actions concrètes : finances et économie; famille et vie communautaire, qualité de vie, loisirs; sécurité publique; environnement et aménagement du territoire; communication et culture ».
Luc Leblanc et son parti s’engagent déjà à mener des consultations publiques et des tables de travail pour rejoindre les préoccupations des citoyens.
Un autre engagement sera celui de la gestion rigoureuse des dépenses, de même qu’augmenter les ententes entre municipalités pour augmenter l’accès à des activités.
Le Parti sauverois s’engage à intervenir pour protéger les lacs, les montagnes, la faune et la flore. Enfin, Luc Leblanc parle d’assurer le maintien d’un équilibre entre les besoins des résidents et ceux des touristes.