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Projet d'école alternative Pays-d'en-Haut

Par Thomas Gallenne

Soirée de préinscriptions officielles

Le comité fondateur du Projet d’école primaire alternative publique dans la MRC des Pays-d’en-Haut organise une rencontre d’information et de préinscription officielle, conjointement avec la Commission scolaire des Laurentides, ce soir (19 juin), à 19h, à la Place des citoyens, salle Rousseau-Vermette, au 999, boul. Sainte-Adèle à Sainte-Adèle.

Dans un premier temps, ce projet, qui devrait se concrétiser dès la rentrée scolaire 2019-2020, s’adresse aux élèves de maternelle, de la 1re, de la 2e et de la 3e année du primaire. Les parents intéressés par ce projet régional sont donc invités à la rencontre d’information, qui précisera entre autres le projet éducatif proposé et les caractéristiques d’une école alternative.
Les parents présents pourront par la suite procéder à la préinscription de leur(s) enfant(s). Ces préinscriptions permettront à la CSL d’évaluer le besoin et le réel intérêt d’une telle école dans la MRC des Pays-d’en-Haut.
Le directeur général Bernard Dufourd et Suzanne Hébert, directrice des programme pédagogiques et adaptation scolaire à la CSL seront présents. « On a aussi invité des commissaires à être présents », précise Jolène Richer, mère de famille à l’origine du Comité de fondation de ce projet d’école.
Selon elle, cette soirée a une valeur symbolique forte puisqu’elle officialise la collaboration entre le Comité fondateur et la CSL. « On va travailler ensemble pour mener à terme ce projet d’école alternative dans les PDH », pointe-t-elle.

Enjeu: trouver un local
Mme Richer rappelle que le 28 mars dernier, les commissaires ont mandaté le DG afin de mener une étude de faisabilité en vue d’ouvrir la première école alternative des PDH pour la rentrée 2019.
« Le Comité a déposé plusieurs propositions de locaux avec différentes options et la CSL a mené ses propres recherches. Le comité a trouvé cinq locaux, notamment à Saint-Sauveur, Sainte-Adèle et Sainte-Marguerite. Mais il n’y aura pas d’annonce ce soir pour un local », poursuit Mme Richer.
Objectif de la soirée? Hormis l’évaluation des besoins et de l’intérêt d’un tel projet, ce sera l’occasion de revenir sur les détails du projet éducatif, calqué sur les principes émis par le Réseau des écoles publiques alternatives du Québec (RÉPAQ).
« La base est identique mais avec un volet plein air plus prononcé ainsi qu’un volet  »adaptation scolaire » pour accueillir les enfants ayant un Trouble du spectre de l’autisme (TSA) », conclut Jolène Richer.
Les organisateurs attendent plus de 250 personnes à cette soirée.

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