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Ça sent la coupe

Par Thomas Gallenne

Ça sent le succès en salle?

Avec Ça sent la coupe, le réalisateur Patrice Sauvé nous sert un drame empreint de sensibilité, dans lequel les mouvements dramatiques sont parsemés de tendresse et de sourires. Avec en trame l’amour du hockey, il montre non seulement la puissante transformation de Max (Louis-José Houde), mais aussi celle de tout un groupe d’amis, de toute une génération.

Synopsis

À 35 ans, Max est prisonnier de son passé. Depuis le décès de ses parents sept ans plus tôt, il oscille entre le salon de son petit appartement, dans lequel il regarde tous les matchs du Canadien avec sa blonde Julie (Émilie Bibeau) et ses amis de toujours, et la boutique de cartes de hockey dont il a hérité et qu’il gère sans enthousiasme. Mais quand Julie le quitte soudainement, Max est forcé de réévaluer sa vie. S’amorce alors un long cheminement parsemé d’embûches et de mauvaises décisions, au bout duquel Max devra faire le deuil de son père, cesser de regarder vers l’arrière, et commencer enfin à regarder vers l’avant. Entre le premier match de la saison 2009-2010 des Canadiens, et le tout dernier contre les Flyers de Philadelphie sept mois plus tard, Max devra gérer le retour de sa sœur Nathalie (Julianne Côté), en exil depuis la mort de leurs parents, ainsi que les insécurités de son meilleur ami Phil (Maxime Mailloux), qui entamera une relation houleuse avec Nathalie. Aidé par les autres gars de la gang, Richard (Louis-Philippe Dandenault) et François (Patrick Drolet), Max devra surtout apprendre du départ de Julie, malgré ses envies irrépressibles de la reconquérir.
Un film de Patrice Sauvé (Grande Ourse – La clé des possibles, Cheech) avec Louis-José Houde (De père en flic), Julianne Côté (Tu dors Nicole) et Émilie Bibeau (Émilie).
En salle dès vendredi au cinéma Pine à Sainte-Adèle et au Cinéma Carrefour du Nord à Saint-Jérôme.

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