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Un dernier petit tour de notre système hormonal

Par Journal Accès

Dominique Cloutier N.D, collaboration spéciale – Alors que s’achève la vague du baby-boom, les dernières-derniers babyboomers arrivent en ménopause-andropause à grand renfort de questions et surtout de protestations! Les babyboomers aiment la facilité, ne pas oublier que nous sommes une génération un peu spéciale…

Alors que s’achève la vague du baby-boom, les dernières-derniers babyboomers arrivent en ménopause-andropause à grand renfort de questions et surtout de protestations! Les babyboomers aiment la facilité, ne pas oublier que nous sommes une génération un peu spéciale…

Les baby boomers sont également une génération sociologique.

Selon la théorie de  William Strauss et  Neil Howe, la génération des boomers occidentaux serait composée en grande partie d’ égocentriques.

Alors c’est bien sûr que les désagréments de la ménopause ou de l’andropause ne leur sont pas tolérables !

La ménopause est une étape tout à fait naturelle dans la vie d’une femme, tout comme l’andropause l’est aussi pour les hommes et cela devrait se passer sans problèmes.

Mais malheureusement notre style de vie et nos habitudes alimentaires dérèglent et affaiblissent nos glandes homonales et nous nous retrouvons avec des bouffées de chaleur, femmes et hommes, des sueurs nocturnes et des sautes d’humeur…!

La ménopause n’arrive pas brutalement. Elle est précédée d’une période plus ou moins longue appelée périménopause. La périménopause dure quatre ans en moyenne et continue durant les 12 mois qui suivent les dernières règles.Cette période correspond à la diminution de la production d’hormones sexuelles féminines. Durant cette phase, les femmes connaissent des troubles du cycle (trop long, trop court, règles trop abondantes, trop longues…)  Les choses se présentent à peu près de la même façon pour les hommes, c’est la baisse de production d’hormones sexuelles masculines qui est responsable des bouffées de chaleur et surtout de la dysfonction érectile qui est un des signes les plus évidents et des plus frustrants pour l’homme.   

Même si la diminution de la testostérone n’est pas aussi brutale chez l’homme, elle ne serait pas sans conséquence. Baisse de la libido, fatigue, augmentation du risque cardiovasculaire, irritabilité, augmentation du tour de taille, bref des désagréments quand même importants.

On retrouve en naturopathie de nombreuses plantes qui peuvent nous aider à traverser cette période difficile, très brièvement : le Vitex, l’igname sauvage, la Dong Quai, la sauge etc… pour l’homme le tribulus terrestris, le palmier nain et le gingko biloba et autres précurseurs d’hormones.

Cependant, en conclusion, n’oubliez pas de marcher, de vous promener, de bouger, de profiter du soleil et du grand air, la vie est belle !

Coup de coeur

De nombreuses plantes, alimentaires et médicinales, ont des propriétés reconnues pouvant agir sur les systèmes hormonaux de l’organisme. En naturopathie, on les utilise pour aider le corps à rester équilibré pendant les périodes de vie où l’organisme a de la difficulté à fabriquer suffisament d’hormones. Les extraits de plantes ne sont pas des hormones, c’est la raison pour laquelle les résultats ne sont pas aussi rapides qu’avec des médicamants hormonaux. Un des produits les plus efficaces sur le marché actuellement, le MénoConcept, avec lequel je travaille régulièrement avec succès ainsi que le Testostéhomme.

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