Deux amis à la conquête du camp de base de l’Everest
Par Rédaction
Accès suit l’aventure de deux courtiers immobiliers de Saint-Sauveur et amis depuis leur tout jeune âge, Louis-Charles Ménard et Marc-André Pilon, qui sont partis la semaine dernière à la conquête du camp de base de l’Everest. Ils sont accompagnés par le guide et alpiniste le plus reconnu au Canada Gabriel Filippi, qui a atteint le plus haut sommet du monde quatre fois. Lisez le début de leur aventure !
Le départ
22 mars 2024, journée de départ vers le Népal ! Notre vol de presque 16 heures comporte un arrêt au Qatar, à Doha plus précisément, pour une destination finale à Katmandou, capitale du Népal. C’est à cet endroit que nous retrouverons tous nos compagnons de trekking !
C’est un voyage qui se fait par simple défi personnel et le goût de se retrouver entre amis ! Aucune levée de fond n’est associée à ce projet – juste le goût de vivre une expérience unique et privilégiée. Ami de longue date et fondateur de la compagnie Prospect (outil principal de travail en immobilier), Charles Drouin a été l’instigateur de cette idée. Il se joindra à nous pour le départ au Népal. François Villiet, directeur à la retraite de REMAX à Saint-Sauveur, se joint également au projet.
L’arrivée
Atterrissage à Katmandou samedi matin ! Le contraste avec notre vie quotidienne laurentienne est majeur ! Nous avons un accueil très chaleureux des Népalais ! Puis, notre arrivée coïncidait avec la fête Holi, grand festival haut en couleur qui célèbre la fin de l’hiver. La ville danse et tout le monde se lance de la poudre colorée. Plusieurs spectacles activent la capitale.
Une journée additionnelle de détente avant le grand départ nous amène sur divers sites historiques et populaires proche du centre-ville. Nous faisons les derniers préparatifs et la pesée de nos sacs pour les Sherpas.
Surprise ce soir ! Nous apprenons que tous les vols qui nous amènent à Lukla sont annulés. C’est là que le trek commence. Cet aéroport est réputé pour être le plus dangereux au monde par son inclinaison et la distance de piste, sans compter que tous les vols se font pour les pilotes à vue – ils n’ont aucun accès aux instruments.
Le stress est ressenti par notre guide et leader Gabriel Filippi afin de trouver des solutions rapides pour se rendre à notre point de départ… Jeep, hélicoptère ou départ d’un autre petit aéroport à quelques heures de route sont les trois options…
À suivre !
Lisez la suite de leur aventure dans cet article !