(Photo : Rachelle Burelle)
L’équipe du Parti sauverois.

Élections à Saint-Sauveur : le Parti sauverois à l’assaut des élections municipales

Par Luc Robert

Le candidat à la mairie Luc Martel et son équipe du Parti sauverois ont lancé leur campagne en vue des élections municipales du 2 novembre prochain à Saint-Sauveur, le vendredi 3 octobre dernier.

Rassemblés au local de campagne, situé au 206, rue Principale, les partisans ont écouté M. Martel élaborer les grandes lignes de son programme, « basé sous le signe de l’écoute, de la communication et de l’action ».

Ainsi, les priorités figurant à sa plate-forme compte : la mise sur pied d’un forum citoyen, la taxation inférieure à l’inflation, une révision du plan d’urbanisme, la protection de l’environnement, l’application de la loi sur la sécurité routière, l’amélioration des infrastructures, ainsi que l’élargissement de l’offre de services en sport, culture et plein air.

« On a rencontré près de 4 500 citoyens jusqu’ici. On doit penser à eux et continuer d’obtenir leurs suggestions. On nous a répété que ça roule vite, lors de notre porte à porte, et qu’on doit rendre ça plus sécuritaire en ville. De même, on veut reformer le comité des sentiers, qui a été dissout quand on a perdu la majorité au conseil. On avait même trouvé un chargé de projet. Ça n’a pas bougé depuis, mais les gens nous en parlent. Quand on gagnera l’élection, on va recréer le comité. Il faut aussi relancer Plein-Air Saint-Sauveur », a ajouté M. Martel.

Celui qui est entré en politique en 2021 a déclaré avoir basé ses priorités sur ces consultations de terrain et des rencontres citoyennes.

« 2541 visites ont été effectuées, de porte à porte, depuis le mois de juin dernier. On veut construire avec vous une ville qui nous ressemble. Il y a 4 ans, j’arrivais de chez Airbus, du privé. J’ai appris à marcher, avant de courir dans le secteur municipal. Avec notre diversité de candidats (ates) et l’expérience de Luc Leblanc, nous sommes prêts à répondre au défi de la mairie », a-t-il indiqué.

Le lancement de campagne s’est inscrit dans la continuité d’une campagne de terrain, « dans une volonté de proximité avec les citoyens (nes). Dans les semaines à venir, des rencontres, réunions publiques, activités de porte-à-porte et actions participatives seront organisées dans tous les secteurs de Saint-Sauveur », a-t-il détaillé.

Entouré d’une équipe diversifiée de 5 dames sur 6 possibles conseillers, M. Martel a spécifié « vouloir introduire une nouvelle façon de faire de la politique municipale, proche des gens, axée sur les résultats et tournée vers l’avenir. On aurait aimé une parité de candidats, mais après les entrevues au bureau, plusieurs dames ressortaient plus du lot. »

Luc Martel se dit prêt à en découdre, le 2 novembre, face à Robert Gravel.

« On a chacun nos visions de Saint-Sauveur. J’entends dire que supposément je bloque des projets ? Je lui demande alors : lesquels ? Au contraire, s’ils respectent les règles, nous sommes ouverts. »

Le Parti sauverois invite les citoyens s’informer, participer ou le joindre, via le site www.partisauverois.com ou sur leur page Facebook.

7 commentaires

  1. J’aimerais connaître votre position concernant les rues privées de Saint-Sauveur. Le Conseil sortant a supprimé la subvention que recevaient les résidents de ces rues.
    Réponse claire et précise svp

    Merci

  2. Le chef du parti sauverois s’était présenté à la dernière élection municipale au poste de maire et avait été battu.
    Il a été élu conseiller lors d’une élection partielle par la suite.
    Présentement, il demeure chef du parti sauverois et se présente comme conseiller alors que Luc Martel se présente au piste de maire .
    Pourquoi le chef du parti ne se présente t’il pas comme maire plutôt que conseiller?

    Une des options est qu’il s’accroche au piste de chef du parti mais que s’il se présente au poste de maire, il a peu de chance d’être élu.

    Alors, si un membre de son parti se présente comme maire et que lui est élu conseiller, il pourra diriger de façon indirecte puisque Luc Martel n’a pas de leadership dans le parti.
    La municipalité a besoin d’un vrai leader qui est capable de diriger et décider sans devoir obtenir l’approbation du chef de son parti.

  3. Ce matin, le 23 octobre 2025, dans les médias écrits et électroniques, il y a des articles concernant Luc Martel, candidat à la mairie pour le parti Sauverois et l’agression sexuelle alléguée ( attouchements aux seins) qu’il aurait commit sur une conseillère municipale de la Ville de St-Sauveur lors du party de la ville en 2022.
    Le chef du parti Sauverois Luc Leblanc, n’a pas demandé sa démission mais appuie sa candidature comme maire de la Ville de St-Sauveur. Il n’a pas prit ses responsabilités .
    À vous de juger s’ils méritent de vous représenter.

    Depuis cet événement, deux conseillères du parti ont démissionné pour siéger indépendantes.

  4. M. Martel, après la publication du rapport sur les événements du party de Noël 2022, il serait digne de votre part de retirer votre candidature.

    Les citoyens de Saint-Sauveur méritent un maire au-dessus de tout reproche, pas un candidat mêlé à des histoires d’attouchements et d’enquêtes internes.

    Par respect pour les victimes, pour les employés municipaux et pour la confiance du public, la seule chose honorable à faire maintenant, c’est de démissionner.

  5. le problème que j’ai avec ce genre d’article est de s’avoir de qui ça viens? l’opposition ou autre personne.. c’est certains que ça va nuire a son élection.

  6. L’article a été écrit par l’excellente Journaliste du Journal de Montréal Annavelle Blais qui a écrit l’article le 23 octobre 2025 et qui a en main le rapport d’enquête de la firme Relais Expert enquête & médiation. Cette enquête avait été commandée par Me Marie-Pier Pharand, directrice du service des affaires juridiques de la Ville de St-Sauveur suite aux nombreuses plaintes et témoignages de harcèlement, intimidation et agression sexuelle ( attouchements aux seins d’une conseillère) concernant le conseiller Luc Martel au coût de plusieurs milliers de dollards payés par les citoyens.
    Le rapport a été gardé secret depuis 2023 par l’administration municipale, le maire et les conseillers en poste. Deux conseillères ont démissionnés par la suite pour siéger indépendantes. Luc Martel est demeuré conseiller pour le parti Sauverois et le chef du parti Luc Leblanc n’a pas exigé son exclusion malgré la tourmente et les malaises au sein des employés municipaux et le conseil de ville. Des recommandations de la firme ont été appliquées dont suivre une formation pour tous les membres du conseil de ville concernant l’intimidation, le harcèlement et les agressions sexuelles. Les employés et les membres du conseil de ville n’ont plus le droit de fêter ensembles maintenant. Tous ces problèmes sont causés par le comportement d’une seule personne Luc Martel et de son chef de parti Luc Leblanc qui n’a pas pris ses responsabilités en n’expulsant pas Luc Martel du parti Sauverois. Malgré cela, ils se représentent. Luc Martel au poste de maire et Luc Leblanc au poste de conseiller # 2 . Le rapport est disponible en PDF sur le site du Journal de Montréal en allant sur les articles de la journaliste Annabelle Blais. La Ville de St-Sauveur avait une bonne réputation et crédibilité avant ce conseil de ville. En plus du Journal de Montréal, Mario Dumont et TVA Nouvelles ont parlé le même jour de la situation de Luc Martel qui se présente au poste de Maire à St-Sauveur malgré son agression sexuelle. St-Sauveur est la risée du Québec. Au tour des citoyens de nettoyer le conseil de ville de St-Sauveur.
    Espérons que les citoyens choisirons le 2 novembre 2025 le parti Vision St-Sauveur qui représente la confiance, le respect, l’honnêteté, la franchise, la transparence, la communication, l’écoute et l’harmonie avec les employés municipaux et les citoyens.

  7. Je vous fais remarquer que le parti Vision St-Sauveur n’a jamais commenté les publications des journaux ou médias électroniques concernant le comportement de Luc Martel, candidat au poste de maire du parti Sauverois.

    Ils laissent les citoyens de St-Sauveur et la population du Québec juger par eux même et exprimer leur propre opinion.

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