Marlène Houle persiste et signe
Par nathalie-deraspe
Course à la mairie de Sainte-Adèle
Vendredi dernier, l’ex-suppléante de Jean-Paul Cardinal a entamé sa campagne électorale aux côtés des conseillers Gabriel D. Latour et Gary Quenneville. Malgré la tempête qui secoue le Conseil de ville de Sainte-Adèle, Marlène Houle se dit confiante de l’emporter sur ses adversaires lors des élections partielles du 24 février prochain.
Loin de prendre part au cortège des démissions entamé en 2007 à Sainte-Adèle, la plus récente étant celle du directeur des services techniques et des travaux publics, Timothy Watchorm, l’ex-mairesse par intérim a la ferme intention de terminer ce qu’elle a commencé.
Flanquée de son plus beau sourire, Marlène Houle a fait état de ses différentes implications depuis son arrivée à Sainte-Adèle en 1995, pour ensuite expliquer les motivations qui la conduisent à briguer le plus prestigieux des postes vacants à la ville. On apprenait ainsi que c’est au fil de ses activités au sein de divers comités d’école, que cette «fille d’équipe» aurait pris goût à la politique municipale. «Depuis mon élection en 2001, j’ai vécu six années intenses, a confié l’ex-conseillère municipale. J’ai travaillé de façon intègre, continue, engagée, parce que j’aime ce que je fait.»
Malgré une importante hausses de taxes (près de 18 %) et plusieurs millions de dollars de poursuites, Marlène Houle continue de marteler qu’elle et son équipe on assuré une gouvernance responsable. La néo-adéloise veut profiter de la fion de son mandat pour «remettre Sainte-Adèle à l’avant-plan régional afin d’en faire «la ville-phare des Laurentides.»