Nouveau développement immobilier : Landco présente sa vision du projet
Par daniel-calve
Alors qu’une trentaine de résidents dont plusieurs artistes sèment la controverse à Saint-Sauveur autour de la construction d’un nouveau développement immobilier, les entreprises Landco se veulent rassurantes.
Marc Perreault, président de Landco, explique que son entreprise a travaillé selon les plus hauts standards de qualité. Ce dernier, ayant à cœur le patrimoine du quartier historique, indique qu’il s’est assuré de respecter l’entièreté des recommandations de la Ville et de se plier aux moindres exigences du zonage actuel, avant d’entreprendre les travaux de déboisement.
De taille modeste, le projet comprenant 15 unités, situé au cœur de Saint-Sauveur, verra le jour en 2020.
Des constructions de qualité
« Le projet Altitude 700, Villas Saint-Sauveur, répond à tous les critères d’aménagement et d’architecture prévus par l’urbanisme. Il a été recommandé par le Comité consultatif d’urbanisme (CCU) en mai dernier, puis adopté au conseil municipal », souligne le président de Landco. Selon lui, l’architecture et le design de chaque unité ont été conçus afin qu’ils se fondent à l’environnement immédiat et contribuent à maximiser l’expérience des résidents.
« L’extérieur des futurs bâtiments présente des matériaux nobles, comme le bois et les pierres, et son style architectural caractérise l’ensemble des nouvelles constructions dans ce secteur de Saint-Sauveur ». Avec Altitude 700, l’entreprise croit fermement qu’elle perpétue sa mission de faire rayonner la région en proposant des constructions de qualité, respectueuse de l’environnement et du patrimoine environnant. Pour être conforme, ce projet a demandé 14 mois de démarches.
Marc Perreault a confié au journal Accès que huit plans ont été nécessaires et que quatre architectes ont travaillé sur ce projet. Le premier plan a été déposé en 2018. Ce dernier a également mentionné que, voulant être un bon citoyen corporatif, il est allé rencontrer les voisins.
Rappelons que le promoteur immobilier a acheté les terrains de la compagnie Immo Yvon Marcil qui les avait achetés de Roger Taillibert, l’architecte du Stade olympique de Montréal. Notez que M. Taillibert fait partie des signataires d’une pétition contre le projet (Voir Accès Les Pays-d’en-Haut du 14 août).