Quelque chose comme une grande chorale…

Par Marie-Catherine Goudreau

Chorale du Cégep de Saint-Jérôme

Dimanche dernier, à la salle André-Prévost de la polyvalente de Saint-Jérôme, la chorale du Cégep de Saint-Jérôme présentait son spectacle annuel intitulé: «Quelque chose comme un grand voyage».

Sous la direction musicale de Frédéric Vogel, les quelque soixante choristes de cette formation et quelques uns de la formation Carpe Diem, nous ont présenté un magnifique spectacle de chansons toutes québécoises, dont la richesse de création et de poésie produisit le plus bel effet par la qualité des voix des choristes.

Les chansons présentées par l’auteur, compositeur, et chanteur Claude Gauthier, dans une mise en scène teintée d’humour et de surprises, était suffisamment dosées pour retenir notre attention et notre agrément tout au long de la représentation. Un bémol… cette chorale devrait nous présenter plus qu’un spectacle annuel, tant par la réaction enthousiaste du public, que par la qualité de sa présentation artistique. C’est lors d’un souper de Noël en 1993, qu’un regroupement d’employés du Cégep de Saint-Jérôme improvisa une chorale maison, qui devint une chorale permanente quelque temps plus tard.

Depuis lors elle nous offre un vaste répertoire tandis que la participation à la composition de la chorale est offerte à différentes catégories de chanteurs, qu’ils soient débutants ou expérimentés.

France Beaulieu, l’une des choristes, membre du comité de promotion et de communications, souligne que la chorale est à la recherche de nouveaux membres, amoureux du chant, et qui aimeraient se joindre au groupe pour partager cette belle activité. Les gens intéressés peuvent consulter le site internet www.choralesaintjerome.com pour des informations plus détaillées.

En terminant, puisque Félix Leclerc fut l’un des invités de cette soirée donnons-lui la parole de sa musique: «Je n’ai pas vu toutes les merveilles du monde, mais j’ai sûrement vu la plus belle et c’est mon pays. Où que je sois sur terre, je l’emporte dans ma guitare». Calepin d’un flâneur.
       

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