St-Hubert Piedmont St-Sauveur : 40 ans de saveur, de service et de communauté

Par Rédaction

Publireportage / En décembre 2026, le St-Hubert de Piedmont St-Sauveur célébrera son 40e anniversaire. Quarante ans à servir des générations de clients, à s’adapter aux tendances et à rester une véritable institution dans les Laurentides. Pour Karen Monette, franchisée et âme du restaurant, ce jubilé est l’occasion de se retourner sur un parcours marqué par la passion, le travail acharné… et un profond attachement à la communauté locale.

Karen connaît ce restaurant mieux que quiconque. « J’ai commencé ici à 13 ans en cuisine, et j’ai fini par l’acheter », raconte-t-elle. De ses débuts dans la salle à manger à la gestion de l’établissement, son parcours est intimement lié à Saint-Hubert.

Après avoir travaillé pendant plus de 12 ans au bureau-chef dans différents départements, elle revient en 2015 dans « son » restaurant de Piedmont. En 2020, au cœur de la pandémie, elle et son conjoint Richard Scofield concrétisent un rêve : devenir franchisés. « Si j’avais un restaurant à acheter, c’était celui-là, parce que c’était dans mon patelin. Mes clients, ce sont mes voisins, ce sont les personnes que je rencontre à l’épicerie », dit-elle.

Son conjoint Richard Scofield apporte un regard unique sur l’aventure. Président du Groupe St-Hubert, il supervise les 121 franchises et restaurants corporatifs, deux usines, deux centres de distribution et toute l’offre de produits au détail. « Avoir notre propre restaurant nous permet de mettre en action la vision qu’on a pour l’évolution de St-Hubert. C’est une vitrine vivante de ce que nous voulons bâtir pour l’avenir. Quand on le fait nous-mêmes, ça nous donne aussi une crédibilité auprès des autres franchisés », explique Richard.

Une véritable institution familiale

Au fil des ans, le St-Hubert de Piedmont St-Sauveur est devenu un lieu de rassemblement incontournable. On y vient pour célébrer un anniversaire, après une journée de ski ou simplement pour partager un repas réconfortant en famille. « On connaît nos clients par leur prénom. Certains d’entre eux nous accompagnent depuis des décennies. »

L’équipe, elle aussi, s’est construite dans la durée. « Ma directrice adjointe actuelle, je travaille avec elle depuis plus de 20 ans. Son père a travaillé ici. Son frère, ses trois filles et son gendre aussi. C’est une véritable histoire de famille », raconte Karen. Cette proximité se reflète jusque dans les histoires marquantes, entre autres avec certains clients fidèles  : « On a un client, Jean, un ancien pilote d’Air Canada, qui vient manger presque tous les jours. Quand arrivait la saison du shortcake aux fraises, il ne manquait pas une journée de la promotion ! »

L’ambiance unique du restaurant se prolonge au bar. Depuis 2003, le chansonnier et DJ Gilles Caplan anime des soirées musicales. « Avant la pandémie, c’était chaque semaine. Maintenant, c’est un mercredi sur deux, mais la même gang revient encore. Ils s’assoient aux mêmes tables, dansent aux mêmes chansons, et à 21 h 30, tout le monde s’en va avec le sourire. » Ces rendez-vous sont devenus une tradition pour de nombreux habitués.

Le secret de la longévité : service et innovation

Si l’adresse a su rester pertinente pendant quatre décennies, c’est grâce à deux piliers : la constance du service et la volonté d’innover.

« Le service a toujours été top of mind pour nous, même quand j’étais jeune. Ça a toujours été hyper important de bien servir le client, s’assurer qu’ils viennent une autre fois. Avec le service, la qualité de la nourriture qu’on sert, on s’est toujours démarqués de ce côté-là. Je pense que c’est ce que les gens font en sorte qu’ils reviennent quand ils reviennent dans le Nord », insiste Karen. Et si le poulet sauce barbecue reste un classique indémodable, le menu évolue : steaks, crevettes, nouveaux cocktails et plats saisonniers font leur apparition. « On écoute les clients, on teste des nouveautés. Des fois ça marche, des fois ça marche moins, mais il faut essayer. »

Pour Karen et Richard, l’innovation est essentielle pour rester pertinent. « Dunkin Donuts est mort parce qu’il n’a pas voulu évoluer. Nous, on évolue sans perdre nos racines », illustre Karen.

Et cette volonté d’innover s’est récemment traduite par un nouveau projet : l’ouverture de la rôtisserie St-Hubert de Saint-Donat en décembre 2022. « C’est un concept mini avec une expérience Le Marché. Les clients peuvent acheter les mêmes produits que nous utilisons en cuisine – poitrines de poulet grillées, brochettes, côtes levées précuites, homard décortiqué, nos deux coupes de steak (contre-filet et macreuse) ou encore de la viande fraîche désossée. C’est du prêt-à-manger pour emporter, pour que nos clients puissent recréer l’expérience St-Hubert chez eux.

40 ans et un avenir prometteur

Cet anniversaire est pour les franchisés une occasion de remercier la communauté. « Ce qui nous rend le plus fiers, c’est de savoir qu’on est encore là, malgré toute la compétition », dit Karen. L’équipe planifie déjà les festivités qui souligneront ce jalon important : promotions spéciales, événements thématiques et, bien sûr, une grande célébration le 3 décembre 2026.

Pour Richard, l’avenir du restaurant passe par la continuité : « Notre objectif est de maintenir la qualité, de faire évoluer l’expérience client et de rester un point de rencontre pour les familles d’ici et les visiteurs de passage. » Et en quarante ans, le St-Hubert de Piedmont/Saint-Sauveur a vu passer des milliers de clients, d’employés et de moments marquants, et ce qui fait le succès de cette adresse, c’est surtout le lien humain.

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