Le Roi des Kong

KONG : SKULL ISLAND

Une équipe bigarrée formée de scientifiques, de soldats et d’aventuriers est assemblée afin d’explorer une île mythique non répertoriée du Pacifique recelant autant de beautés que de dangers. Loin de tout et sans repères, l’équipe pénètre le territoire du terrifiant Kong et déclenche une bataille sans lendemain entre l’homme et la nature. Leur mission de découverte se transforme en lutte pour la survie au cœur d’un éden primitif où l’humanité n’a pas sa place.

Selon les premières critiques, le mérite de ce film, s’il en est un, est de repartir sur ses propres bases, tout en sachant d’ores et déjà qu’il y aura une suite. Ce qui explique entre autres certains éléments d’origine qui ont changé, comme la taille gargantuesque, que dis-je ! king kongienne du bestiau, qui passe d’un minable 7 mètres (dans le film de Peter Jackson) à, tenez-vous bien à votre liane, 30 mètres!
Est-ce pour mieux laver les vitres du 10e étage de l’Empire State Building ? Que nenni ma bonne dame. C’est pour que le drôle ne fasse trop riquiqui devant Godzilla, le monstre nippon, qu’on a déjà vu rôder dans le coin et qui augure d’une baston mémorable dans de prochains opus, soigneusement concoctés par Holly (Holy) Wood.
L’histoire ne dit pas si le Roi des singes a été payé en monnaie de son espèce ou selon son poids en cacahouètes.
1 h 58 min, Aventures fantastiques, États-Unis, 2017, dès vendredi dans une salle près de chez vous.