Whiplash

Par Thomas Gallenne

Un film hypnotisant, hallucinant, envoûtant

Andrew (un Miles Teller excellent, que dis-je, hallucinant) est en première année d’une des meilleures écoles de musique de New York. Son rêve : devenir le plus grand batteur de jazz.
Repéré par Terence Fletcher (J.K. Simmons génialissime, géant), un musicien et prof de jazz intraitable, Andrew sera poussé au-delà de ses limites. Film dont la tension psychologique nous amène jusque dans une finale étourdissante, au rythme effréné et syncopé. Comme le jazz dont il n’est point besoin d’être un amateur pour apprécier grandement ce film. 

Un film « indie », fait en 20 jours avec un budget de 3 M$…

Un des meilleurs films que j’ai vu depuis longtemps.

Une leçon de jeux d’acteurs.

Une leçon de cinéma.

Une leçon de musique.

Une leçon de vie.

Une finale démente.

Point final!

***

Je conseille: À voir absolument en v.o.a.

Je déconseille: Jeter un oeil sur un quelconque extrait.

Pourquoi Whiplash? Titre d’un morceau de jazz écrit par Hank Levy.

***

Reconnu dans de prestigieux festivals (Sundance, Cannes 2014), ce film est sélectionné aux Oscars 2015 dans cinq catégories : Meilleur Film, Meilleur acteur dans un second rôle (JK Simmons), Meilleur montage, Meilleur son (mixage), Meilleur scénario adapté.

Au Cinéma Pine à Sainte-Adèle. En version originale anglaise, sous-titrée en français.

Courez-y!

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

...