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Je me pose les mêmes questions…

Par Éric-Olivier Dallard

Réactions à la chronique Espace griffé, publiée par l’éditrice Josée Pilotte: «Qu’est-ce qu’on attend pour être heureux?»

Chère Josée, bonjour. Je me permets cette familiarité, due au fait que votre pensée et la mienne vont bien de pair. Qu’est-ce qu’on attend pour être heureux? Je me pose la même question depuis un bout de temps. Car, voyez vous, je me demande pourquoi il faut traverser à côté de son vélo 524 fois de Saint-Jérôme à Piedmont à chaque intersection d’une rue, ruelle ou boulevard. Mais oui madame, mais voyons donc, les marcheurs du parc linéaire sont définitivement des délinquants! Surtout ceux de 60 ans et plus. Alors imaginez la représentation sur les pictogrammes. Quant à Foglia, bof, il chiale contre tout depuis qu’il est au monde. Faut le comprendre, il ne se fait plus d’épais éduqués comme lui. Et pour préserver notre patrimoine forestier, ah! bien là, faut en faire son deuil, car rien de mieux pour nos petits états aveugles, que les entrées de fonds. Et si on se taisait sur les embouteillages, car il me semble que telle avenue, ne se produit que le dimanche après-midi. C’est pour cette raison que la civilisation (hic) de Montréal, vient pratiquer leur sport favori du vendredi au dimanche, soit celle de rouler sans civisme, n’ayant aucun égard pour tout ce qui n’a pas quatre roues. À quand les vraies réponses à toutes vos questions… Facile celle là, probablement dans 25 ans. Et, si vous obtenez des réponses de vos élus, j’entends, accuser de réception, toute forme de réponse à une demande bien légitime, alors là, chapeau! Vous êtes bien meilleure que moi. Tout de même, il va de soi de continuer à prétendre, que notre petit coin de pays, en est un des plus beau. Bien à vous, sincèrement.

_Richard de Lanauze, Ste-Anne-des-Lacs

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