Courtoisie

Redonner à la communauté : une valeur chère chez St-Hubert

Par Rédaction

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Pour les franchisés de St-Hubert de la région, s’impliquer auprès de leur communauté avec des fonds ou du temps va de soi. « J’ai toujours eu comme valeur qu’une entreprise fait partie de la communauté. Elle est là pour la faire rayonner et la faire vivre. On a tous un rôle à jouer. Et si la communauté va bien, les commerces aussi », soutient Richard Scofield, copropriétaire des rôtisseries St-Hubert de Saint-Sauveur/Piedmont, de Saint-Donat et président Groupe St-Hubert inc.

Que ce soit pour soutenir les besoins de leurs clients, ou pour appuyer les causes chères à leurs employés, « ça nous permet d’être directement avec les gens qui viennent nous voir », ajoute sa conjointe et copropriétaire, Karen Monette.

Des gestes concrets

Cette implication communautaire touche une multitude de causes et d’organismes. Et comme l’aide est locale, son impact est concret et direct, souligne Mme Monette. « Avec les équipes de sport, c’est toujours l’fun de voir les jeunes s’éclater dans ce qu’ils font. Mais ces dernières années, certains de nos employés avaient des soucis de santé. Donc on a donné pour la sclérose en plaques, et aussi pour Pallia-Vie à Saint-Jérôme. Et en ce moment, on a un partenariat avec Tangage des Laurentides, qui fait de la prévention des dépendances et des interventions dans les écoles secondaires de la région. »

« Quand tu as une bannière comme St-Hubert, tu es toujours parmi les premiers sollicités. Les gens sont portés à venir nous voir, tant les clients que les employés. Et j’ai un coeur assez tendre de ce côté-là », renchérit Michel Rochon, propriétaire des St-Hubert de Sainte-Adèle et de Sainte-Agathe.

Souvent, leurs restaurants font aussi des dons de nourriture à Soupe et Compagnie des Pays-d’en-Haut et au Garde-Manger des Pays-d’en-Haut. « On commandite beaucoup d’événements et de levées de fonds, comme la guignolée. On fournit le repas pour les bénévoles », illustre Mme Monette.

Comme employeurs, ils engagent aussi des personnes autistes. « Et le dimanche, on a un programme d’inclusion. On modifie notre environnement, le midi, pour accueillir des enfants autistes et leur famille. On tamise les lumières et on adoucit la musique. On a des kits sensoriels pour les occuper. Certains parents nous disent que c’est la première fois qu’ils vont au resto avec leur enfant », raconte M. Scofield, touché.

Selon lui, il ne suffit pas de donner de l’argent pour faire une différence. « Signer un chèque, c’est une chose. Mais quand tu peux offrir de la nourriture, un emploi ou un environnement accueillant, ç’a un impact concret. »

Donner du temps

Michel Rochon croit aussi à l’importance de s’impliquer. « J’ai appris plus jeune que, quand on réussit dans la vie, il faut redonner au suivant, peu importe la manière. » Et la chose la plus précieuse qu’on peut donner, c’est du temps et de l’énergie.

C’est pourquoi M. Rochon est président de la Fondation médicale des Laurentides et des Pays-d’en-Haut depuis 26 ans. « J’ai été approché par des médecins, pour être président de la campagne de financement pour un scanner à l’hôpital de Sainte-Agathe. J’avais toujours participé à des organismes dans la région, mais sans être sur un CA. Je n’avais pas le temps ! Mais quand ils m’ont demandé, j’ai embarqué à fond. Et je n’en suis pas encore sorti ! J’ai toujours du fun », raconte-t-il avec un sourire.

Pour lui, s’impliquer dans sa communauté est une affaire de tous les jours. « Quand je vais à l’épicerie, je rencontre toujours au moins une personne que je connais. Il faut vivre avec sa communauté. Le côté humain, c’est ça le plus important », conclut M. Rochon.

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