La ville du tourisme et du ski
Par Journal Accès
Quand on pense à Saint-Sauveur, on pense nécessairement à tourisme. Avec ses nombreuses montagnes de ski alpin et sa rue principale animée par les restaurants et les boutiques, nombreux sont ceux qui viennent de partout pour visiter ce beau village !
On peut dire que Saint-Sauveur est la porte d’entrée pour le Nord. Tous ceux qui montent dans le Nord, qu’ils se rendent à Mont-Tremblant, à Mont-Laurier ou même en Abitibi, passent par Saint-Sauveur. Et le village offre les meilleures raisons de s’y arrêter.
Ce qui rend Saint-Sauveur unique, c’est son village. Que ce soit par l’église multicolore, qu’on peut admirer le soir, au creux de la vallée, ou par tous ces petits commerces qui longent la rue Principale.
Ce noyau villageois serré, où l’on peut marcher d’un endroit à l’autre, fait tout le charme de la ville. Puis en levant les yeux, les belles montagnes, parfois vertes, parfois colorées, parfois blanches, nous entourent.
Le ski dans l’ADN
En 1934, la station de ski Mont Saint-Sauveur voit le jour avec une remontée sur la piste 70. En 1948, le premier Téléski en archet (« T-bar ») en Amérique du Nord est installé. Depuis, la station ne cesse de se développer. De plus, la montagne a l’une des plus longues saisons de ski au Québec.
La ville compte trois montagnes de ski alpin : le Mont Habitant, le Sommet Saint-Sauveur ainsi que le Versant Avila. Auparavant, il y avait aussi le Mont de la Marquise où l’on pouvait dévaler les pistes. Ainsi, le village s’est notamment développé autour de ces pistes de ski. L’hiver, la vue est magnifique, avec les lumières qui éclairent les montagnes partout où l’on regarde.
La Côte 70, située au Sommet Saint-Sauveur est par ailleurs la première piste de ski alpin des Laurentides à avoir été pourvue d’un remonte-pente permanent.
« Depuis 1905, le cœur du village est dominé par l’église Saint-Sauveur. Œuvre de l’architecte Casimir Saint-Jean (1864-1918), l’édifice à façade éclectique (mélange de styles historiques) semble regarder vers les pentes. Le déferlement des skieurs à chaque fin de semaine a rendu la rue Principale grouillante de vie », apprend-t-on sur le balado découverte de l’histoire de Saint-Sauveur.