Natation à Saint-Jérôme
Par Mathieu Laberge
Neptune Natation continue de faire sa place
Le club Neptune Natation de Saint-Jérôme a remporté la bannière du meilleur club à la compétition provinciale Mégophias, laquelle a eu lieu à Trois-Rivières, les 28 et 29 novembre derniers.
« Ça fait trois ans d’affilée que nous la gagnons! Je crois que cela démontre que nous commençons à avoir de la profondeur et que nous avons des jeunes qui s’en viennent au plus haut niveau). Ce n’est pas le nombre de jeunes que nous avons, mais bien la qualité de nos nageurs et de nos entraîneurs qui compte. Ça part de là », explique Alexandre Gendron, entraîneur-chef de Neptune Natation.
Année après année, le club prend de l’expansion et cela a un impact non seulement dans la piscine, mais aussi dans les autres facettes du groupe, comme le constate M. Gendron qui peut compter sur la collaboration de deux entraîneurs à plein temps et de sept autres à temps partiel.
L’entraîneur cite aussi en exemple la collaboration des professeurs des écoles secondaires qui permettent aux nageurs de l’option sport-études de s’absenter lorsqu’ils doivent se déplacer en compétition ou à des stages d’entraînement.
« C’est un tout et c’est un travail d’équipe! »
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C’est avec un brin de fierté que M. Gendron souligne que d’anciens nageurs continuent de participer aux activités du club.
« Plusieurs anciens viennent donner du temps. Je trouve ça le fun et cela crée un sentiment d’appartenance dans le club, mais aussi pour redonner dans la communauté comme c’est le cas pour Opération Nez rouge par exemple. »
Comme ce fut le cas au cours des dernières années, Neptune Natation est partenaire d’Opération Nez rouge de Saint-Jérôme en compagnie des Scouts de Saint-Antoine.
La participation du club à ce projet est un moyen de financer les différentes activités des nageurs, dont les séjours à l’extérieur afin de prendre part à différentes compétitions.
De plus, travailler pour Opération Nez rouge est un beau clin d’œil, car cette organisation est née au début des années 1980 au club de natation du Rouge et Or de l’Université Laval.
L’entraîneur de l’époque, Jean-Marie de Koninck, avait mis sur pied cette idée afin d’éveiller le public aux dangers de l’alcool au volant tout en amassant des fonds pour son club sportif.
