Bientôt 75 000 résidents à Saint-Jérôme
Par Journal Accès
Capitale des Laurentides
L’Institut de la statistique du Québec a récemment mis à jour ses données démographiques concernant Saint-Jérôme, la dénombrant aujourd’hui à près de 75 000 résidents. De 2006 à 2015, le nombre de résidents est passé de 64 318 à 74 111 personnes, soit une augmentation de 15 %. Aujourd’hui, Saint-Jérôme se positionne au 15e rang des villes les plus populeuses du Québec.
«Bon an mal an, ce sont plus d’un millier de nouveaux citoyens qui s’établissent chez nous : un signe éloquent de l’attrait qu’exerce Saint-Jérôme et la qualité de vie qu’on y trouve», croit Stéphane Maher, maire de la ville. Notons qu’au chapitre de l’augmentation démographique, les Laurentides se classent au troisième rang, après Montréal et Laval pour la période 2011-2014.
Une population en ébullition
La moyenne d’âge des Jérômiens est de 42,4 ans. Elle était de 38,1 il y a 15 ans. Un peu plus du quart des citoyens ont moins de 25 ans, alors que près d’un citoyen sur cinq est âgé de 65 ans et plus. Saint-Jérôme accueille plus de 10 580 familles, dont 1295 comptent trois enfants. La moitié de sa population détient un diplôme d’études postsecondaires. Le revenu médian des ménages est de 51 634 $ et l’on retrouve sur le territoire plus de 33 000 emplois.
Les prochaines années connaîtront assurément d’aussi grands succès, estime-t-on, sur les plans du rayonnement et de la démographie, notamment avec la mise sur pied du quartier des sports (aréna régional, parc multisports, complexe sportif multifonctionnel), la création d’un centre-ville complètement transformé et revitalisé (le Quartier des Arts et du Savoir), l’agrandissement des campus du cégep de Saint-Jérôme et de l’UQO et la création du Parc-nature du lac Jérôme.
«Saint-Jérôme consolide depuis les dernières années sa place comme destination par excellence là où il fait bon vivre et y faire des affaires. C’est une capitale régionale prospère, convoitée pour ses milieux de vie, qui inspire, se démarque et cultive sa richesse collective.»