Ils ont dit…
Par Journal Accès
Le 19, c’est ingrat!
Le 19, c’est ingrat. C’est quelque part entre l’euphorie d’avoir ENFIN 18 ans et l’espoir que suscite l’arrivée de ses 20 ans. La vie est belle à 20 ans.
19 ans, c’est se tenir en équilibre entre ce qu’on a fait enfant et ado et ce que l’on aspire à devenir une fois adulte.
C’est le dernier moment avant d’être aspiré par l’âge adulte et tout le tourbillon qui s’ensuivra.
Avant de faire le grand saut. Avant de basculer dans une vie nouvelle, inconnue.
Jusqu’à 19 ans, notre vie est menée et organisée par nos parents. On a bien eu quelques soubresauts à l’adolescence, avec des pointes « rebelitude ». Et on a mordu à belles dents dans cette liberté toute neuve de « J’ai 18 ans, je fais ce que je veux! ».
Puis arrive 19 ans… L’effervescence de la majorité s’est estompée, et c’est avec un regard à la fois craintif (mais qu’est-ce que je vais faire de ma vie?) et rempli de projets (c’est ENFIN moi qui décide de tout) que l’on voit arriver nos 20 ans et tout ce qui vient avec : amour, liberté, jeunesse, espoir… Tous les rêves sont permis!
Accès a eu 18 ans. Il a grandi, a pris de l’assurance, s’est parfois trompé, s’est relevé. Accès a même osé jouer aux « grands » en devenant Accès Le Journal des Pays-d’en-Haut.
Aujourd’hui, il souffle ses 19 bougies. Il entre dans la cour des grands. Solide, fier. Il a fait ses preuves.
Souhaitons-lui une vingtaine sans limites et audacieuse.
Valérie Maynard, rédactrice adjointe.
19 ans, ce n’est même pas un chiffre rond
Ben oui, 19 ans, ce n’est même pas un chiffre rond. Alors, pourquoi célébrer?
Pour ceux qui ont des enfants, on sait qu’il est important de fêter chaque année qui passe. C’est sacré.
Quand les décennies s’accumulent, on fête un peu plus fort les dates ayant un « chiffre rond ». Le mal de tête est plus fort au lendemain du 40e anniversaire qu’au lendemain du 41e.
C’est ça que j’aime avec Accès. Toutes les raisons sont bonnes pour transformer un anniversaire en une fête spéciale. Et spécial, tu es.
Tu as été Accès, l’hebdomadaire culturel des Laurentides. C’est comme ça que je t’ai connu.
Tu as été Accès Laurentides, tout court. C’est à ce moment que j’ai commencé à écrire dans tes pages.
Tu es maintenant Accès Le Journal des Pays-d’en-Haut. Et c’est comme ça que je t’aime.
En fait, il y a longtemps que je t’aime, jamais je ne t’oublierai.
Jean-Patrice Desjardins, journaliste.
19 ans c’est la liberté
Le journal Accès, je l’aime moins quand il prend des selfies. Quand il faisait dans le « moi, moi, moi ». C’est vrai qu’il soigne son esthétique et qu’il a toujours été agréable à lire. Mais il fallait qu’il passe au travers de son adolescence, comme tout le monde.
L’Accès que j’aime, c’est celui de la diversité, de l’ouverture. C’était en septembre 2001. En tant que politologue, on m’avait demandé de commenter l’actualité mondiale après la chute des deux tours à New York. Mon unique contribution journalistique, je l’ai fait dans Accès.
C’est vrai que beaucoup de chroniqueurs sont passés depuis 19 ans. Certains sont partis, puis revenus, puis repartis. Il y en a qui sont restés dans le journalisme, d’autres ont continué leur métier, mais leur vie était soudainement enrichie d’avoir écrit dans cet hebdomadaire.
D’autres journalistes y ont trouvé leur style, comme Jean-Patrice Desjardins qui n’a jamais été autant percutant. C’est un peu parce que le journal, avec ses 19 ans, vit sa pleine liberté.
Accès, c’est pour moi une aventure qui culmine avec une belle réalisation de femmes dans un monde d’hommes. Et la persévérance d’une femme en affaires, Josée.
Longue vie Accès!
Magalie Jutras, Val-David.
Accès, pour savoir ce qui se passe chez nous !
Lire le journal local pour moi veut dire : lire ce qui se passe chez nous, dans ma communauté. J’ai toujours tout lu mes journaux locaux. Avant, je lisais les deux journaux, Accès et Les Pays-d’en-Haut. Je trouvais que les deux se complétaient. Maintenant qu’il ne reste qu’un seul journal, je le lis encore plus, d’un couvert à l’autre. Les nouvelles des gens d’ici, l’agenda communautaire, l’horaire du cinéma… J’y trouve tout ce dont j’ai besoin. J’adore tenir le journal papier dans mes mains! Et j’espère en apprendre encore plus sur la vision et l’orientation du nouvel Accès Le Journal des Pays-d’en-Haut.
Francine Marcoux, une résidente de Sainte-Adèle depuis 2005.
Le journal Accès représente pour moi le reflet clair et intègre de ce que notre région et ses citoyens veulent communiquer jour après jour. Je dois avouer que c’est un pur bonheur depuis des années de boire mon café en lisant ce journal tous les mercredis et maintenant sur le Web. Les vraies histoires et les vrais enjeux de notre région s’y retrouvent. On me parle de sport professionnel, mais davantage de nos athlètes régionaux, de culture, d’économie sociale, on me présente des modèles et des bâtisseurs tout en présentant nos futurs leaders dans tous ces domaines. Bien que je sois natif de la région, Accès a le tour de me faire redécouvrir des coins ou des activités à faire dans notre si belle région. Je n’ai pas de rubrique préférée, bravo à toute l’équipe puisque je suis toujours absorbé par la qualité d’un bout à l’autre. À mon avis, ce média est un succès et une fierté locale.
Jean-Sébastien Thibault, directeur général, Corporation du P’tit Train du Nord.
Chaque semaine, et depuis 19 ans, le journal Accès nous informe sur les enjeux de notre région. Avec des dossiers et des reportages qui vont au-delà de la simple nouvelle, l’équipe rédactionnelle d’Accès sait couvrir l’actualité locale et régionale avec un angle différent et toujours pertinent.
Je suis heureux de constater qu’après toutes ces années, la direction du journal a maintenu son lien particulier avec le milieu artistique et son attachement pour la vie culturelle de notre région. Ce qui en fait sans contredit un partenaire de premier plan, voire incontournable, pour les artistes et les organismes culturels.
Nous livrer, de façon indépendante et dans un milieu extrêmement compétitif, près d’un millier d’éditions plus intéressantes les unes que les autres relève de l’exploit. Bravo à toute l’équipe et merci d’être toujours à nos côtés.
Alexandre Gélinas, directeur général du Patriote.