La Ville donne 15 000$
Par Thomas Gallenne
Aide alimentaire jérômienne
C’est en compagnie des organismes communautaires de la région que le maire de Saint-Jérôme, Stéphane Maher, a annoncé un don de 15 000$ de la Ville de Saint-Jérôme qui sera réparti entre huit organismes reconnus par la Ville et par Moisson Laurentides.
Ces organismes sont: l’Accueil Gabriel-Ramier, l’Ami-e du quartier, Café 20 cœurs, Coup de pouce, Dépannage alimentaire Notre-Dame-de-la-Salette, Dépannage alimentaire Sainte-Paule, Soupe-Café Rencontre et L’Écluse des Laurentides.
Ce sont 1 181 familles jérômiennes qui reçoivent un dépannage sur une base régulière, soit une aide de première nécessité pour combattre la faim et alléger leur fardeau financier. Cette statistique ne tient pas compte des familles qui reçoivent de l’aide de façon occasionnelle.
«Jérômien depuis ma tendre enfance, je suis sensible aux besoins de mes concitoyens. Aujourd’hui, nous donnons 15 000 $ et ce n’est qu’un début. C’est un premier pas qui va bien au-delà de l’argent», a reconnu
M. Maher.
La Ville entend agir à long terme en créant un fonds de développement communautaire pour aider les organismes à sécuriser leur offre de services sans toutefois se substituer au rôle des autres paliers gouvernementaux.
«Concrètement, ce premier élément de notre fonds de développement communautaire, auquel d’autres s’ajouteront, permettra à la Ville de Saint-Jérôme d’apporter une contribution plus significative à la lutte contre la pauvreté et, surtout, le fonds viendra RENFORCER les liens qui nous unissent avec ceux qui œuvrent directement auprès de nos citoyens», ajoute le maire Maher.
L’administration municipale, qui reconnaît le travail remarquable qu’exercent ces organismes et leur importante contribution dans la communauté, assumera un rôle d’accompagnement auprès de ceux-ci.
«Bien que les besoins soient quotidiens, la période des fêtes qui approchent nous rappelle qu’il est important de contribuer aux besoins alimentaires des Jérômiens. Tous ensemble pour faire une différence!», conclut Stéphane Maher.