Réponse du maire Milot

Par Journal Accès

Lettre ouverte de Marie-Renée Daigle

En réponse à la lettre ouverte de Marie-Renée Daigle, publiée le 21 juin, intitulée Réflexion citoyenne.
Madame Marie-Renée Daigle,
Après avoir pris connaissance de votre lettre ouverte publiée dans l’édition du 21 juin du journal Accès, je tiens tout d’abord à vous assurer qu’en aucun cas, la Ville ne souhaite « s’acharner avec froideur et sans pitié sur les citoyens qui ont commis des erreurs de bonne foi ».
Nous tentons seulement d’appliquer les règlements municipaux dans le respect des intérêts de la communauté et du bien commun.
Sachez que chaque litige est étudié et considéré avec attention, et que chaque dossier est traité avec le souci de trouver la meilleure solution possible pour les citoyens concernés et pour la collectivité.
Malheureusement, en vertu des règlements municipaux en vigueur, qui s’appuient sur une vision et une gestion structurée du territoire, il nous est impossible de régler chaque litige à la faveur du citoyen, notamment si nous jugeons que notre position dans le dossier est légitime.
Cependant, si, tout comme moi, vous croyez qu’une erreur que vous avez commise de bonne foi mérite d’être pardonnée, vous pouvez en appeler aux instances supérieures, de la même manière dont j’ai porté ma cause en appel.
Quant aux citoyens, en aucun cas, je « n’exige » leur pardon; je crois en la démocratie et je leur fais confiance pour exprimer leur opinion le moment venu.
Ils pourront alors juger de ma bonne foi et décider si toute l’énergie et les efforts déployés depuis plus d’un an maintenant pour faire de Sainte-Adèle une ville accueillante où il fait bon vivre sont plus importants à leurs yeux que cette erreur de bonne foi.
Robert Milot, maire de Sainte-Adèle

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