Plaidoyer pour la Terre et les Vivants

Par Éric-Olivier Dallard

La mobilisation… au-delà de Copenhague

Quels actes sommes-nous prêts à poser face à l’avancée quotidienne des déserts et face à la dégradation de la qualité du sol, de l’eau, de l’air? Acceptons-nous de rester neutres et d’hypothéquer l’avenir des générations futures?

En plein coeur des débats de la Conférence de Copenhague sur le climat, le livre Plaidoyer pour la terre et les vivants (Marcel Broquet La nouvelle édition) de Bernard Anton, Ph. D. écrivain, professeur et conférencier, propose des pistes concrètes groupées sous douze thèmes dans lesquels l’écocitoyen se reconnaît et apprend à poser les bons gestes pour contribuer à la préservation des richesses de la Terre.

Abondamment documenté, ce livre est l’aboutissement de toute son oeuvre centrée sur la mise en relief de la beauté et de la valeur du patrimoine naturel.

Deux mentions d’excellence

Bernard Anton a publié vingt-huit ouvrages au Québec et en Europe et s’est mérité la mention d’excellence de l’Association des écrivains francophones d’Amérique au récent Salon du livre de Montréal et a également reçu le «Diplôme d’Honneur de la Francophonie» (Europoésie, Paris, 2009), l’auteur rédigeant également de la poésie.

Réflections sur l’impact environnemental

Surpollution, surproduction, surconsommation, surindustrialisation… développés en douze chapitres: le premier présente les empreintes de l’activité humaine sur l’environnement ainsi qu’une foule de solutions prometteuses. Le second parcourt l’histoire de la pensée verte dès ses débuts. Le troisième expose les rouages de la politique qui tarde à emboîter le pas. Le quatrième réfléchit sur les différentes actions à entreprendre pour rendre l’école et son mandat d’instruction plus verts. Le cinquième aborde les conséquences d’un environnement malsain sur la santé publique. Le sixième expose les arguments des sceptiques. Le septième décrit les différentes pratiques d’une conscience verte. Le huitième réfléchit sur l’urgence et l’importance du recyclage. Le neuvième propose un large éventail de solutions à suivre à domicile. Le dixième repense d’une façon écologique nos moyens de transport, surtout la voiture. Le onzième démontre l’implication de nombreux artistes en faveur de l’environnement. Le douzième analyse la vision spirituelle de la Création qui est bien en avance sur plusieurs théories actuelles. Ce dernier chapitre, qui analyse avec perspicacité et une rare lucidité le souci environnemental des plus grandes religions, en dégage un projet vert commun et une écoéthique universelle.

Un livre qui nous concerne tous.

Renseignements:

www.marcelbroquet.com. Pour chaque livre vendu, un dollar est remis à l’organisme environnemental TerraVie.

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