Société de plein air des Pays-d’en-Haut : La SOPAIR a maintenant son site Web!

Par Thomas Gallenne

La Société de plein air des Pays-d’en-Haut a lancé officiellement son nouveau site Internet pour les amateurs de plein air. Cela s’est passé le 18 novembre dernier à l’ancienne gare de Mont-Rolland.

Le site [www.pleinairpdh.com] affichera sur une même plateforme Web, en plus des informations sur l’organisme, des bulletins mensuels, les principaux réseaux de sentiers de la MRC des Pays-d’en-Haut et inclura un calendrier des activités et événements de plein air sur le territoire.

« Le plein air fait partie de notre industrie touristique, a lancé le président de la SOPAIR et maire de Saint-Sauveur, Jacques Gariépy. Il est une partie intégrante du mode de vie de plusieurs de nos citoyens et nous en sommes grandement conscients! »

Le site Internet de la SOPAIR permettra aux amateurs de plein air d’obtenir facilement de l’information concernant les activités extérieures et les sentiers sur le territoire de la MRC.

« Cette plateforme permettra également de sensibiliser les gens à la mission de la SOPAIR qui a besoin du soutien de l’ensemble des citoyens afin d’assurer la pérennité et la conservation des sentiers », a ajouté le président.

« Les sentiers, c’est à vous, c’est à nous », a renchéri Marie-France Lajeunesse, chargée de projet pour la SOPAIR.

Ce projet attendu par plusieurs amateurs de plein air a pu voir le jour grâce à la MRC et au CLD des Pays-d’en-Haut, qui ont contribué au financement du site dans le cadre des programmes de subvention du Pacte rural et du Fonds d’investissement en économie sociale.

Vers une politique de protection des sentiers

En période de questions, Gilbert Tousignant (CRPF) a demandé quelles seraient les actions concrètes pour conserver les sentiers en vue de les pérenniser. « La SOPAIR a demandé une politique des sentiers qui sera présentée au prochain budget, a répondu Mme Lajeunesse. On est là aussi pour accompagner les municipalités quand il y a des “ chicanes de clôtures ’’. Et on essaie d’acquérir de l’expertise légale pour la transmettre à ceux qui ont à gérer les réseaux de sentiers. »

« On se base aussi sur les meilleures pratiques au Canada, au Québec et aussi ailleurs, mais adaptées à notre cadre légal. Ce sera évolutif. Beaucoup de sentiers ici sont en terre privée. Il y en a aussi sur terres publiques. Mais contrairement au Vermont, les droits de passage ne sont pas encadrés légalement », a précisé François Trudeau, membre du conseil d’administration de la SOPAIR et ardent défenseur des sentiers non motorisés des Pays-d’en-Haut depuis plus d’une décennie.

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