Trois Laurentiennes sur le coup

Par Thomas Gallenne

Boson de Higgs

Les Laurentiennes Martine Laliberté, Anny Bessette et Caroline Bessette, achèvent présentement un projet de long métrage documentaire tourné à l’étranger. Et se retrouvent du même coup reliées par leur sujet, à un buzz médiatique scientifique sans précédent: celui de la découverte du boson de Higgs.

Thomas Gallenne

Mme Laliberté et son équipe reviennent tout juste d’Europe, où ils ont eu l’opportunité de faire des entrevues avec des scientifiques au CERN en Suisse, à Paris et en Italie (Gran Sasso). En abordant le sujet du «Boson de Higgs», l’équipe a eu la chance incroyable de capter des images vidéo abordant justement cette expérience. Or, le CERN a annoncé mercredi dernier avoir découvert une nouvelle particule subatomique qui pourrait être le fameux boson de Higgs, chaînon manquant de la physique moderne.

Chainon manquant?

En 1964, le physicien britannique Peter Higgs postule l’existence du boson qui porte son nom, avec ses collègues belges Robert Brout et François Englert. Selon la théorie développée par les physiciens, aucune particule n’avait de masse l’instant après le Big Bang. Et c’est ce boson, ou plus précisément le «champ de Higgs», fonctionnant comme une sorte de champ gravitationnel dans l’espace entre les particules, qui permet aux particules d’acquérir une masse. Plus les particules interagissent avec le champ de Higgs, plus elles deviennent lourdes.

Conscience à bord

Commencé il y a trois ans, ce projet de documentaire tourne autour de la physique quantique et des nouvelles découvertes, lesquelles pourraient bien être sur le point de changer notre paradigme scientifique actuel et donc de transformer la perception de notre vie moderne. À suivre donc!

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