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Le temps des Fêtes

Chronique d’un X par jean-claude tremblay À l’arrivée, les visiteurs étaient accueillis pas une horde de caisses de Laurentides ou de Labatt 50, toutes stationnées sur le perron, attendant froidement le retour de leur propriétaire. Sur les marches de l’entrée, on y entendait de la musique et des rires, et on pouvait sentir cette énergie festive qui se dégageait des fêtes de famille du temps. À peine le portique passé que les tantes venaient vous embrasser,…